2021 07 - Mykonos

 


Un voyage qui commence sur www.transavia.com


Dimanche 11 juillet — L’atterrissage, la lumière et le premier bain

Le ciel grec nous reçoit tôt, à 5h20, après un départ tranquille à 13h20. Depuis la carlingue, les îles déroulent leurs ombres et leurs taches de blanc : Naxos file sous nos yeux comme une promesse. Contrôle PLF, QR code, attente des bagages — les formalités tombent vite dans l’oubli. Taxi jusqu’à notre logement Airbnb : une petite maison neuve, propre, parfaitement équipée, qui sent la mer avant même d’y être. Descente à pied vers l’eau pour un bain inaugural. Les routes bruissent de véhicules — Mykonos n’est pas faite pour les longues randonnées solitaires — mais la mer efface la fatigue. Quelques courses, une salade grecque improvisée et la nuit s’installe, douce et salée.









Lundi 12 juillet — Chora, moulins et premiers souvlakis

Vers onze heures, le bus nous conduit à Chora, la principale ville de l’île. Blancs éclatants, ruelles serrées, moulins qui ressortent comme des balises dans le vent : Mykonos se livre en tableaux successifs. Le port fourmille, la promenade est belle, la lumière frappe les murs comme un projecteur. Déjeuner de souvlakis dans un petit restaurant — simple et parfait. À 15h, un nouveau bus nous emmène à Platis Gialos ; l’après-midi se déroule entre bain et paresse, la mer pour horizon et la chaleur comme rideau de fond.

















Mardi 13 juillet — Chemins bouchés, plage et petites victoires

Randonnée jusqu’à Super Paradise : l’île montre son visage moins contemplatif. On a l’impression que les sentiers piétons se réduisent, se ferment, se replient, mais la plage vaut l’effort — presque privatisée, elle nous offre un espace rare. Retour en mini-bus vers Fabrika, quelques emplettes — boulangerie, alimentation, tickets de bus — puis retour à la maison pour une pause déjeuner et une sieste réparatrice. Le soir, bain à Paraga puis un dîner mémorable chez Stasi Dietnes : moments simples qui deviennent des souvenirs solides.








Mercredi 14 juillet — Formalités, errances et soirées face à la mer

La journée commence avec une nouvelle contrainte : Pierre doit effectuer un test à chaque changement d’île. Petite inquiétude ponctuelle, sans conséquence majeure. Matinée à la plage, déjeuner autour d’une salade grecque, puis tentative d’achat d’auto-tests à Chora en fin d’après-midi. On se perd, volontairement ou non, dans les petites rues presque désertes : murs immaculés, silence ponctué par le souffle du vent. Quelques courses encore, un verre face à la mer, puis retour en bus vers la maison vers 19h30 — la journée s’achève en douceur.













Jeudi 15 juillet — Pauses, tarot et mer du soir

Matinée calme : plage, déjeuner à la maison, temps de repos et une partie de tarot pour ponctuer l’après-midi. Le test de Pierre est négatif — soulagement simple et partagé. En soirée, un bain, puis un restaurant en montant vers la maison : la routine du voyage devient rituel, et chaque instant s’aligne comme une petite victoire.










Vendredi 16 juillet — Départ, séajet et séparation douce

Départ matinal : 9h30 direction le port, séajet à 11h00. Juliette reste sur le vieux port pour retrouver une amie, scène émouvante et pleine de légèreté au milieu des trajets. Le bateau file ; après deux arrêts, dont Naxos, nous arrivons vers 13h30 à Amorgos. Une transition, comme une respiration entre deux îles.